Juliana & Mesrine ( ♥ ) Finis, vous pouvez valider ♥

Vos personnages

Caractère : Le coeur sur la main, généreuse, gentille et compréhensible, on peut dire que Juliana est quelqu'un de bien. Vivre dans la rue lui a apprit certaine chose dans la vie, notamment l'entraide. On ne peut survivre si on se sert pas les coudes ! Bien sur, il ne faut pas non plus se laisser marcher sur les pieds, Juu' a donc apprit à ouvrir sa bouche, elle n'a pas peur de hausser la voix même devant un type plus balaise qu'elle. De toute façon, elle a confiance en elle et surtout, confiance en Mesrine, elle sait que si il y a un problème, son compagnon s'interposera et n'hésitera pas à attaquer. Nos deux amis restent tout de même très discret, ils aiment la solitude, ils passent leurs journées ensemble, jamais l'un sans l'autre. ( Quasiment identique entre les deux, même si on peut noter quelques différences) ( min. 3 lignes)

Ce qu'ils aiment le plus : La liberté.
Ce qu'ils aiment le moins : Les bourges !
Leur plus grande qualité : Généreux, toujours près à partager.
Leur plus grand défaut : Réagit au quart de tour.
Leur point commun : Ils ont tous deux le même tatouage. (Même yeux, tache de naissance, etc ...)

Histoire : (min. 4 lignes)

Imaginez vous dans un champ, de l’herbe tendre et bien grasse, un petit étang avec autour, de grands arbres vert, les branches de celui reflète un peu plus bas dans l’eau de l’étant. Deux chevaux broutent dans ce champ profitant du beau temps et de l’herbe si appétissante. Le soleil tape sur leurs magnifique robes doré et brune. Dans le champ, des lapins et autres petits animaux de ce genre gambadent gentiment. Des fruits juteux sont encore accroché aux arbres.

« Ouais, j’peux juste imaginer. Juliana, 17 ans, Sans Domicile fixe. »

Et c’est là que tu te demande ce qu’une gamine de mon âge fait dans la rue. Et bah c’est très simple, tu vois cet espèce de chien là ! Et bah il est la source de mes problèmes de logements.
Ouais, ce p’tit truc à la bouille d’ange là. Il s’appel Mesrine, c’est genre un Coyote tu vois. Ouais je sais, c’est chelou comme animal de compagnie mais d’un côté, il serait pas là, j’me retrouverai bien dans la merde.

It’s My Life !

Tout commence quand j’ai trois ans, mes parents et moi, on prend l’avion pour partir en vacance en Afrique. Je décide d’emmener avec moi ma peluche préféré, je nomme ‘ Vil Coyote  ‘. Depuis l’berceau, je suis une mordu des chiens et autres type de canidés du genre. Quand j’ai appris que je partait en Afrique, même à trois ans j’ai sus que j’allais voir des animaux fantastique et découvrir des trucs de dingues !
Bref. J’arrive en Afrique, on passe la première semaine dans une ville, j’vous l’dis, c’étais nul. J’ai pas vue une seule bestioles sauf des chats et chiens errant. D’après Papa et Maman, ils étaient malade donc je pouvais même pas les approcher !
La deuxième semaine était par contre une pur merveille. Mes parents avaient louée une sorte de chalet au beau milieu d’une réserve naturel, autant vous dire que j’ai pus en observer des animaux sauvage !
Et puis, j’ai fais la connaissance d’un petit chien. Un Coyote plus exactement, comme mon doudou !
J’ai jamais compris pourquoi mais je comprenais tout ce qu’il me racontait ! D’habitude, un humain et un animal ne peuvent communiquer, mais là, c’étais différent. Je pouvais discuter avec lui.
J’ai supplié mes parents de le ramener à la maison, j’me suis roulé par terre, j’ai tapé sur le sol, fait tombé une lampe, tous les trucs qu’un goss peut faire pour faire craquer ses chères parents adoré.

« Tu ne comprend pas ma Puce, nous n’avons pas le droit de transporter des animaux sauvage »

Trop déçu, je vais expliqué la situation à mon nouveau pote, celui-ci retourne alors auprès de sa famille et j’en fais de même. Le soir, devant la TV j’entends le groupe de Coyote jappé dans la savane, triste et hyper déçu je monte le son de la TV pour ne plus entendre ces plaintes. Je me concentre alors sur ce qui passe à l’écran. ‘ Le Retour de Mesrine ‘. Le film parle d’un type qui vole des riches, mais contrairement à Robin des Bois, lui, il ne redonne pas aux pauvres. Il est pas con lui ! Il garde tout pour son propre plaisir.

Le lendemain on prend la voiture pour retourner à l’aérodrome qui nous ramènera à l’aéroport principal du pays pour pouvoir rentrer en France. J’admire pour la dernière fois ce beau paysage et monte dans la voiture. Je repense à cet animal que j’ai croisé, plus la voiture s’éloigne du chalet, plus une douleur au cœur se fait sentir. Durant tout le trajet j’ai été malade. Une fois à l’aéroport principale, la douleur est parti et une fois dans l’avion plus rien. Je me sentais de nouveau en forme, quoi qu’un peu déprimé de partir. C’est fou tout ce qu’on peut ressentir à trois ans.

Après plusieurs heures passaient assise dans l’avion, celui-ci arrive enfin à destination. Une fois hors de l’avion et les voitures déchargeaient nous partîmes en direction de la maison. Pendant tout le trajet, je repensais à ce petit bout de chou que j’avais rencontré. Il me manquait terriblement. Au fil des kilomètre, un nouvelle douleur dans le cœur se fit sentir. A trois, c’étais pas normal, surtout que j’étais en parfaite santé d’après le docteur. A la maison, je m’installa dans mon lit et m’endormi, à mon réveil, une merveilleuse surprise m’attendait.

J’ouvris doucement les yeux et m’étira, je me sentais bien ce matin, plus de douleurs. Je m’assis dans le lit, enroulée dans la couette et soudain, il était là. Couché le nez dans les pattes, la queue replié autour de son corps, le chien ronflait paisiblement. Je n’en revenais pas ! Que faisait-il là !? Il n’a pas pus venir à pattes d’Afrique ! Traversé les océans et compagnie en seulement deux jours ! Pas grave, le principale c’est qu’il soit là. Je m’approcha doucement de lui et caressa sa soyeuse fourrure brune.

« Je suis contente de te retrouver »

L’animal ouvrit délicatement les yeux, laissant apparaitre son regard brun. Il se releva et s’assit en face de moi.

« On est copain pour toujours maintenant ? »

Mais soudain, j’entendis des pas dans les escaliers et la porte de ma chambre s’ouvrit brutalement.

« Tu parle à .. OH ! Mais que fait cet animal ici !? »

« Maman, il nous a suivit, je sais pas comment, mais il est arrivé comme par magie dans ma chambre. Dit maman, on peut le garder, hein ? S’il te plaiiiiiiit »

Ma maman observa longtemps l’animal et annonça d’un voix calme et rassurante

« Maintenant qu’il est là, on ne peux pas le mettre dehors, il est trop petit pour survivre »

Je sauta de mon lit et alla embrasser ma mère, j’étais tellement heureuse.

« Il s’appellera Mesrine ! Comme le voleur dans le film ! ».

Quelques années plus tard, nos deux amis ont bien grandis. Juliana à 16 ans et Mesrine a toujours la même vitalité qu’avant. Il n’a pas prit une ride !

« Je ne veux plus de cet animal ici ! Depuis qu’on l’a, nous enchainons des plaintes provenant des voisins ! Bientôt on va avoir les flics au cul !, tu le dégage d’ici ! »

Hors de moi, je jette le verre que j’avais à la main et monte me réfugier dans ma chambre.
Une fois la porte fermée à double tour, je retrouve mon ami caché sous le lit, tremblant de partout.

« Je dois partir, c’est ça ? »

« C’est hors de question ! Si tu pars, je pars avec toi. On ne sera jamais séparer ».

J’attrapa un sac et le garni d’affaire chaude, d’un peu de nourriture, y rangea mon porte monnaies qui contenait quelques pièces et passa par la fenêtre.

« C’est pas une bonne idée Juu’ »

« Ferme la Mesrine et suis moi. Que je sache, je suis ton maître, tu te dois te m’écouter ».

L’animal grogna un peu et sauta par la fenêtre à son tour.

Les deux compagnons se retrouvèrent dans la ville, livré à eux même. Juliana ne chercha pas à retourner chez elle, elle voulait vivre sa vie sans ses idiots de parents. Elle affronta la pluie, le froid, le manque de nourriture courageusement accompagné de son Mesrine. Tout deux, prirent l’habitude de se débrouillé avec le peu que la nature et la ville pouvaient leurs offrir. Ils s’en sortaient très bien ainsi.

Hey you !

Votre prénom : Julia
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Votre âge : 17 ans (facultatif)
Votre chez vous : BORDEAUX (facultatif)
Code : Destin. (A trouver dans le réglo)
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Disponibilité : 5/7
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