POST LIEUTENANT
Nom : TAYLOR Dimitri
Age : 27ans
Sexe : homme
Type d'animal : Panthère de l’amour
Eléments : (force, sagesse ou volonté) sagesse
Postes que vous souhaitez occuper: Lieutenant,
~ Le RP ~
Rédigez ici le RP que vous souhaiter présenter.15 février,
Décidément le temps ne s’y prêtait guère… j’entendais la voix sensuelle de Gerda ronchonner dans ma tête.
*je hais la pluie, pourquoi on doit allez chercher ce foutu sac a main ?*J’avais beau la calmer … comme toujours elle ruminait… et tant que le soleil ne serrait pas revenue sur la plaine boueuse,
elle dépenserait toute son énergie à râler. D’un autre coté, j’avais la chance inestimable d’avoir comme compagne, une créature si énergique (brancher sur une pile nucléaire),
et surtout si dévouée… malgré ses ruminicenses elle marchait d’un pas, trahissant son excitation.
La chasse… ou la traque au choix, un moment dangereux où l’adrénaline est a son plus haut niveau. Un esprit liée avait été repérer non, loin. Les villageois avait surpris une jeune femme amaigris par la faim, se transformer en un monstrueux reptiles. Selon les descriptions, il s’agissait d’un crocodile… avec un peu de chance du Nil et non marin. C’est que c’est foutus bestioles sont immense !
L’excitation était plus grande encore ce jour-ci… ma mission, bien que j’en en avais déjà faite plusieurs du même genre,
allait peut être me promurent lieutenant une fois pour toute…
Dans mon escapade 4 compagnons… Faenza Rodriguez, une femme au teint caramélisé par les rayons du soleil, petite et boulotte… beaucoup, ne l’aurait pas sélectionné, pas très agile et aussi rapide qu’un escargot… elle représentait un véritable boulet. Mais à mes yeux, un atout primordial ! Ce petit bout de femme était un arc en ciel ! Toujours de bonne humeur elle avait le don fabuleux de rendre les gens heureux, et personne ne pouvait la détester, même un esprit lié taciturne et acariâtre. Bavarde comme son perroquet, un animal qui lui correspond que trop bien, elle savait redonner le sourire aux âmes perdues.
A ses coté, Elisabeth Swan… dans une ancienne langue terrienne, son nom signifie cygne, mais ce n’est pas ce majestueux animal blanc qui l’accompagne, mais un fabuleux destrier. Jango pur sang arabe. Elégante, elle représente la classe absolue, toujours bien habillé, queue de cheval haute avec un port altière digne d’une reine… sa douce frimousse pâle, était encline à un sourire charmeur… Swan était une belle femme, avec de nombreuses qualités, comme l’art de la guerre qui n’a aucun secret pour celle-ci… agile rapide, un élément dont je me passe rarement.
Vincent-Mohamed Arsha dit Vince, était derrière moi, son regard d’azure perdue comme toujours dans l’immensité de la plaine … accompagné de Radja, un lévrier Afghan… et contrairement à son double canin Vince était tout sauf une grignette. Un homme aux larges épaules, avec une barbe de trois, jours, une peau mitigée ni blanche ni de couleur… un homme de carrure impressionnante ! Mais une vrais guimauve à l’intérieur… il en avait vu des horreurs… ses qualités n’étaient autre que sa force légendaire, et sa compassion, même pour les pires crimes.
Et enfin Carlin Sedward, mon mentor, mon second père, il me semblait logique de l’avoir invité… cette chasse allait être sa dernière, du au de ses 65ans, il contait prendre sa retraite et coulé des jours heureux avec Myriam, sa douce femme. De plus il possédait comme compagnon un anaconda… oui je sais ca veut strictement rien dire d’avoir un reptiles ou non. Mais de nombreuses personnes sont influencées par leurs compagnons. Et chez les Garous, bah il faut l’avoué, ils deviennent l’animal. Et étant proche du croco, Alside (anaconda), pouvait nous être d’un grand secours.
Bref voila bien 5heures qu’on pistait le croco, dit sac a main par ma délicieuse Gerda … alala je vous juge, parfois j’ai envie de l’étrangler…
Soudain Vince, se figea, et croyez moi ca fait froid dans le dos, quand il prend cet air de chien de chasse…
-
Dimitri … la mareEn est fait, une masse sombre, gisait non loin de l’étendus d’eau…
En se rapprochant, la masse, était énorme … 6mètres… aie, ca va être encore merveilleux de la calmer.
Faenza sautilla vers le croco, sans attendre les ordres … je l’interpellai pour qu’elle revienne, mais elle ne m’entendit pas… puis de sa voix chaude, elle interpella le reptile.
-Bonjours ! Je me nomme Faenza… non non, n’est pas peur, je suis là en tant qu’amie ! Nous voulons t’aider…Trop tard … l’énorme mâchoire s’abadie, sur le bras de Faenza… je nu qu’un bref instant, pour intervenir et lui sauter dessus, éloignant le corps de la jeune espagnol, des mâchoires de l’animal fou… résultat, le bras était une piètres consolation face au corps déchirer qu’elle aurait pu être…
Vince s’arma pour tirer et abattre l’animal… mais ou avait t-il la tête ? Elisabeth accouru vers Faenza pour la soignée, me laissant, le temps, d’abaisser l’arme de Vince…
Le croco se figea… étonner de cette clémence ? Surement… il se mit à trembler et quelque secondes plus tard, une jeune femme menue apparue.
Elle se jeta dans la mare.
Ok … je n’aurais pas dû… c’est en entendant les cris de Gerda, que je pris conscience, que j’avais sauté dans l’eau gelée. Allez savoir pourquoi. Je sentie une douleur au bras … mon sang coulai… puis le corps dénudé de la créature passa devant moi. Je la saisie, et la s’engagea un combat aquatique.
*Gerda*
Mais qu’elle idiot ! Allez dans l’eau, comme ca ! Et sans maillot ! Avec un croco géant ! Il est dingue ce mec ! Et en plus je suis morte d’inquiétude !
Si Faenza avait écouté Dimitri chou, avant de saluer le croco, on n’en serrait pas là !!! Elle est gentille, mais elle n’a aucune notion du danger.
olalala des masses à la surface ! Mais oui ! Il se bat avec le sac à main … enfin la version humaine !
-Pourquoi n’est elle pas redevenu croco ?
-car elle est fatiguer et affamé Vince …
Qu’elle ignorant ce cabot ! Oh !!!! Voila mon doux prince !!! Dimitri chou !! Mon amour !Gerda me sauta dessus … elle m’assomma de « Dimitri chou »… alala les panthères…
très vite elle fêla an voyant que dans mes bras, se tenait le corps dénudé du croco-garou… elle était lourde mine de rien.
Elisabeth la couvera d’une couverture avant de la déposer sur son cheval.
Cette traque aussi éreinte, nous avait couté, le bras lacérer de Faenza, qui malgré sa terrible blessure, chantonnait.
Et mon épaule… je ne sais comment, mais elle était ouverte.
Tend pis, le résultat était là, Norisia tel était le nom de cet esprit lié, allait rejoindre un lieu,
ou plus jamais elle ne manquera de nourriture.