pas finiis

Vos personnages

Caractère : ( Quasiment identique entre les deux, même si on peut noter quelques différences) ( min. 3 lignes)


Tout les deux sont très enfantin/e et aime la liberté. Un peu triste sur les bord, ils n'aiment que leur seul compagnie, et ça leur suffit. Louana déteste parler de son passé, elle n'en garde que des mauvais souvenir. C'est une fille du genre plutôt positive, qui à un sacré sang-froid et beaucoup de trempe pour une jeune noble. Le sang ne leur fait pas grand chose, tuer non plus, ça les indffèrent totalement. Ils savent garder un secret et ne mente presque jamais. problème? Louana est clostrophobe (c'est à dire qu'elle n'aime pas les endroit clos et petit). Depuis la periode où elle était tout le temps enfermer durant son enfance, à chaque qu'elle se trouve dans un endroit qui fait de la limite prescrite, elle ne s'y sent pas du tout à l'aise. Parfois, elle rend visite à sa mère au cimetière, il lui arrive de pleurer toute seul, sans aucune raison. Susceptible et sensible, elle à pas mal d'humour, et on ne se lasse jamais d'être avec elle. Son côtés gamin à un côtés attirant, vous vous sentez tout de suite bien et à l'aise avec elle. Elle a un don pour devenir ami avec tout le monde. Perséverante et très scrupuleuse en ce qui concerne les horraires, je peux vous dire et vous confirmer, vous allez les adoré !!


Ce qu'ils aiment le plus : se baguarrer, parler, s'amuser
Ce qu'ils aiment le moins : s'enuyer
Leur plus grande qualité : intelligente, maligne et persipcace
Leur plus grand défaut : susceptible
Leur point commun : (Même yeux, tache de naissance, etc ...) même caractère

Histoire : (min. 4 lignes)


Chapitre I



-Poussé madame ! Poussé !

Les hurlements se firent plus intense, Voir même assez terrifiant. Derrière la porte, un homme tambourinait en essayant de l'ouvrir, bien que des domestiques tentaient en vain de le faire lâcher prise. Mais rien ne pouvait soulager l'inquiétude du mâitre de maison. Il avait déjà eut de nombreux enfants, avaient entendu sa femme crier bon nombre de fois en mettant au monde ses enfants, mais ce hurlement là ne laissait rien présager de bon. Au final, la porte céda et il entra dans la pièce en trombe. Sur le lit, étendu et blafarde, son épouse ne bougeait plus. A côtés d'elle, une servant tenait un nourrisson dans ses bras, celui-ci ne pleurait, comme tout bon bébé le ferait. Non, il regardait le corp inerte de sa mère, une lueur étrange dans son regard. La servante hésita, puis dit d'une voix tremblante:

-Je suis navré monsieur. Votre femme n'as pas survécu mais... vous avez toujours votre fille. Elle à donner naissance à une belle lady, qui recquiert la présence de son père, alors...

-Silence Femme !!! Cette enfant à pris la vie de celle qui m'étais le plus chère !! Comment pourrais-je aimé un monstre comme celui-là !!

Dit-il en pointant du doigt la demoiselle et le lionceau désormais à ses pieds, qui grognait d'un air contrarié et irrité. Il sortit de la chambre, suivit d'un imposant chien labrador et la porte claqua. La petite, qui n'avait toujours rien dit, se contenta de fixer la porte fissurer sous l'effet du choc, et eut une attitude qui surpris et laissa perplexe l'assemblée présente dans la pièce, elle ria.
Les jours ont passé, son père ne venant pas la voir, ce furent les domestiques qui se chargèrent d'élever eux-même la jeune lady, qui au fil des mois, grandissait en devenait aussi belle que sa mère. Sa cheveux d'or lui descendait maintenant à la taille, et ses yeux bleu pétillaient d'émerveillement à chaque découverte. A 5 ans, elle sortit pour la première fois de sa chambre. Jamais elle n'avait quitter ce lieu, enfermer, cloîtré dans sa chambre telle un monstre dont on a peur, emprisonner dans sa cage, qui pendant 5 ans avait suivis des cours sans pour autant visiter l'exterieur de son "chez soi". Bien sur, elle ne passa pas innaperçu. Vêtu de façon guère modeste, elle longea les couloirs de sa demeure, et entendit un voix. Elle se retourna et apperçut un grand homme, qui lui semblait familier. Son visage prit une teinte sombre, et elle dit:

"-père..."

Le concerner tourna la tête et sa mine devint presque colérique et effrayer. L'un de ses interlocuteur prit à son tour la parole:

-C'est l'une de vos filles?

-Non ! Je ne la connaît pas !

Offusqué et blesser, Louana s'approcha et tira sur sa veste, regardant son père d'un air implorant, qu'il la reconnaisse, qui lui explique pourquoi jamais il n'était venu la voir, pourquoi lui en voulait-il...

-père..! dit-elle d'un ton plus soutenu, les larmes presque au yeux.

Ennuyer, le géniteur s'énerva et la jeta brusquement en arrière, sous le regard choquer des gens et des domestiques. Elle heurta le mur et leva un regard effrayer vers le maître de maison, qui la prit par le bras et l'emmena avec elle. Des murmures se firent entendre parmis l'assistance, mais il s'en moqua foutrement. Il arriva devant la chambre de sa "fille", ouvrit la porte et la jeta sur son lit:

-Je tolère de te laissé vivre ici, mais i tu prononces encore une fois le nom de "père" en ma présence, je te ferai tuer !! Les monstres n'ont pas de père, souviens-t'en ! Tu n'as rien !! Tu n'es rien !!



chapitre II


Louana grandit, sans plus voir le visage de son père. A chaque fois qu'elle passait à côtés de lui, elle baissait la tête, quand lui la détournait. Ses frères et soeur, qu'elle n'avait jamais vu, vivaient heureux. Quand a elle, c'était la cendrillon de la demeure, en mieux habillé. Elle ne faisait pas servante, non, mais ne sortait jamais de chez elle. Ryuketsu à ses côtés lui tenait compagnie, et lui aussi avait grandis. Il n'était plus le lionceau joueur et turbulent d'antant, c'était un beau lion à la crinière de feu, mature et courageux. Un jour, son père entra dans sa chambre. Louana, qui s'attendait à tout sauf à sa visite, fut assez étonner quand celui-ci fit irruption dans la salle. De sa voix froide et son regard habituel, il lui dit:

-maintenant, que tu est assez grande pour t'occuper de toi seul, pars !

La jeune fille resta muette, aucun mot ne sortant plus de sa bouche, juste des larmes coulaient de ses joues. Elle serra les poings et se releva, le défiant du regard:

"-Si t'elle est votre choix père, je ne le contesterais pas. Moi qui pensais que finalement, vous aviez de l'estime pour moi, le monstre qui ai tué votre femme, mais sachez aussi qu'elle était ma mère, et que vous êtes mon père quoi qu'il advienne ! Est-ce le rôle d'un père de chasser ainsi sa fille du logis familial? Sa fille qui l'aimait malgrés toute ses réticence à son égard, qui se coltinait les tâches ingrate dans l'espoir un jour que vous daigner lui adresser un regard ! Est-ce de ce père la que vous parler ?! Il est vrai que jamais vous n'avez tenu ce rôle à coeur, tout du moins, pas à mon égard. Mais sachez que je resterais, même si je finis pied et poing lié ! Il ne revient pas à vous de me dicter mes actes de conduite !"

Il en tituba presque devant cette annonce, et une goutte de sueur coula le long de son front. Il serra les dents, et envoya son chien chercher les gardes. Puis il se releva:

-Je sais qu'elle est mon rôle ! Il n'as jamais été celui de t'élever ! Depuis que tu es enfants j'aurais du te tuer, mais la pitié à raison des plus faibles ! Aujourd'hui, je ne ferais pas la même erreurs !!

Il sortit un pistolet de ses vêtements, mais plus rapide, Louana prit un couteau sur sa table et fonça sur lui, lui embrochant le coeur. Sa robe se tâcha de sang, et le corp de l'homme tomba lourdement sur le sol. Elle lâcha le couteau et murmura:

"-Le mien aura été de vous arrêter dans votre folie, ou peut-être de débuter la mienne"

Les gardes arrivèrent plus tard, et louana inventa un beau mensonge. Puis comme tout les enfants du maître était désormais partit du logis, elle hérita donc de la fortune de son père, ainsi de pouvoirs assez étranges. Si je me souviens, ont appelle des gens comme ça... Des mediums, curieux nom. Mais la fillette aime trop la liberté pour rester enfermer et s'enfuit toujours au moments important, jouir du bonheur d'être libre, récupérant toutes les années perdu dans sa chambre, profitant de ceux qui lui était offert. Elle avait déposer sur la tombe de sa mère, une lettre, il y à peu, par un temps de pluie. Elle disait ces mots:


"est-ce bien ce que j'ai vu
ou me sus-je trompé
pourquoi m'être vendu
si je ne suis point aimé
lueur de desespoir
bonheur tout envoler
devant ce beau regard
je ne peux plus rester
pourquoi dans ce grand piège
je me suis renfermer
maintenant de ce grand lièvre
je ne fais que me cacher
où ais-je pu trouver la force
pour aussi vite foncé
comme une fragile écorce
mon coeur s'est brisé..."

Hey you !

Votre prénom : nina
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Code : (A trouver dans le réglo) pff, j'vais pas les remettre !!
Où avez-vous trouvez le forum ? pllllrr
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